La douleur, le passé définitif, le présent de l’absence…
L’épuisement des yeux par les pleurs récurrents.
Le courant d’un fleuve en détresse m’emporte… Je m’accroche à un roseau de toutes mes forces… Ta mort m’a « décomposée », je dois me reconstruire autrement.
Mon cœur est empli à ras bord de bois d’ébène… Un tourment noir qui doit céder sa place au ton rouge… La couleur de la rose au cœur de laquelle tu peux te cacher…