Rien n’est éternel sauf… la MORT !
La douleur, le passé définitif, le présent de l’absence…
L’épuisement des yeux par les pleurs récurrents.
Le courant d’un fleuve en détresse m’emporte…
Je m’accroche à un roseau de toutes mes forces…
Ta mort m’a « décomposée », je dois me reconstruire autrement.
Mon cœur est empli à ras bord de bois d’ébène…
Un tourment noir qui doit céder sa place au ton rouge…
La couleur de la rose au cœur de laquelle tu peux te cacher…
…pour l’éternité…